Petit TopFlop de Noël
Je ne vais pas vous compter par le menu notre réveillon familial chez Louve Chérie et son Loup à elle. Sachez juste qu’il y a eu beaucoup de « tops » et très peu de « flops ». Ce n’est pas comme ailleurs dans le monde où les armes ne se sont pas tues en cette nuit de Noël, où des attentats ont tué aveuglément, où les sans-abris n’ont pas tous eu la chance d’être accueillis pour la soirée par de généreux bénévoles… Ce sera sans doute pour l’année prochaine. On peut rêver, non ?
Top
L’Accueil, la table, le repas : ils se sont dépensés sans compter nos deux loups pour ce premier réveillon partagé dans leur tanière campagnarde. Des détails raffinés de la table de fête au repas (« ballottine de caprin à la tapenade et tomates séchées » suivie d’un « sanglier et sa dauphine aux pommes et airelles »), tout avait été soigné dans les moindres détails. Un seul regret : le manque d’appétit de certaines qui les a empêchées de faire honneur aux nouveaux talents culinaires du Loup de Louve Chérie.
Flop
La Fnac et DHL : malgré leurs promesses, l’ouvrage commandé n’est pas arrivé à temps pour Noël. Certes, il s’agit d’une édition régionale relativement confidentielle, mais s’il figure au catalogue en ligne, il doit pouvoir être livré dans les temps. C’est d’autant plus regrettable qu’il s’agissait d’un cadeau pour Granny et d’un livre écrit par une de ses blogamies !
(à défaut du livre espéré, voici une paire de mitaines, inespérée, pour pouvoir taper à la machine par grand froid !
Top
La distribution des cadeaux par un gentil lutin certes fort affairé à déballer les siens, mais aussi empressé à distribuer ceux des autres convives. Même lorsqu’on l’invitait à la patience, sa curiosité et sa fougue enfantines ne se sont à aucun moment muées en mauvaise humeur. Merci Petit Loup !
Flop
La tempête Dirk : qui a semé la désolation en France et en Grande-Bretagne, fait déborder quelques rivières chez nous et trempé le réveillon de nombreux habitants. Ne pouvant tous loger chez Louve Chérie, nous, nous avions opté pour une chambre d’hôtes sur une colline proche. Bien nous en a pris ! Le propriétaire de ce vieux manoir peut-être hanté qui rentra, lui, dans la nuit, de Bruxelles, parle d’un retour cauchemardesque sous une pluie battante et des rafales de vent qui l’empêchaient de distinguer la route.
Mais le lendemain, le calme revenu, le ciel se dégageait.