
Il en va des baobabs comme de tous êtres vivants. Ils naissent, ils vivent, ils meurent. Même les baobabs symboliques comme le nôtre, dont les racines plongent dans la nuit des temps. Non qu’ils disparaissent, mais il arrive que des branchages blessés ou vieillissants s’épuisent et meurent. C’est le cycle de la vie. Inéluctable. Alors, les branches, brindilles et feuillages alentours pleurent leur disparu.
C’est ce qui arrive à notre baobab familial. Il vient, en effet, de perdre, brutalement, l’un de ses membres...
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