... et, non, je n'y ai pas cueilli du romarin, ni causé avec un rossignol. J'y ai seulement grapillé quelques parfums et autant de couleurs, admiré les corolles éphémères, applaudi une abeille butinant. J'y ai croisé deux escargots, salué les hôtes de pierre et croqué un fruit minuscule qui avait le goût du soleil. Et si c'était cela le bonheur ?
Commentaires sur J'ai descendu dans mon jardin... (air connu)
- Un jardin extraordinaire loin des noirs buildings et des passages cloutés
Un coin de verdure où les petites grenouilles chantent pour saluer la lune, où les statues dansent sur le gazon, où les oiseaux tiennent buffet... Sympa ces ravissantes images qui nous remémorent la poésie de Trenet... les parfums sont presque perceptibles. Merci Mamilouve. - Tout jardin n'est-il pas extraordinaire, par sa diversité florale et celle de ses hôtes, remuants ou invisibles mais bien présents, qui y naissent, y vivent, y travaillent et nous enchantent par leur beauté, leur gaieté, leur chant ou leur labeur obscur ? Un jardin c'est un monde à chérir. A préserver.
- Des beaux brins de jardin qui parlent de bonheur, c'est ce qui compte, vois-tu...
Moi j'ai parlé du soleil des millepertuis, éludant la médecine, mais bon pourquoi vouloir jouer les encyclopédies , surtout avec le net au bout des doigts !
J'adore la nénette et sa cocotte et tous ces petits personnages qui font chanter le jardin !
Je t'ai piqué une fraise...
et au Jardin de Titi j'ai fait de même !
http://marinezou.blogspot.fr/2014/06/lelegance-de-larum.html - C'est clair, chère Marine, nous partageons le même amour des jardins et des fleurs. Et ces petits compagnons de terre ou de pierre qui égaient la promenade participent à son charme. Je m'arrête souvent pour leur parler et leur demander des nouvelles des hôtes moins visibles qu'ils se plaisent à recueillir : escargots, fourmis, larves en tous genre... pas nécessairement ragoûtants mais indispensables
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A la recherche, au plaisir de découvrir ce que l'on connait déjà
Oui, je crois que c'est cela le bonheur!
Savourer ce que l'on a semé..